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Pervers narcissique

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Une discussion initiée par Mitsy123, non membre, le 08/12/2016 à 12:11.
Salle de discussion: Couple, famille, enfants et ados, sexualité


Bonjour,
Je suis sous le choc, j'ai eu un déclic. J'ai besoin de votre aide, je ne sais pas si mon compagnon est narcissique. J'ai bien sûr lu des articles et visualisé des vidéos.
Je m'y retrouve dans les histoires des intervenants.
Ne faites pas attention à la syntaxe, je suis en pleine crise de tremblements, de pleurs, de culpabilité, mon coeur bat la chamade, je n'ai plus d'énergie, je suis vidée pendant des jours après une dispute.
Nous sommes ensemble depuis 14 ans, nous ne vivons plus ensemble depuis 5 ans car je l'avais quitté car je ne le supportais plus tous les jours.
Je le connais depuis ma naissance, étant donné que le frère de son père est le mari de ma marraine (soeur de ma mère), nous nous considérions comme des cousins. Il s'est séparé que j'étais seule depuis 4 ans avec mon fils. Un jour que nous nous étions revus à une fête de famille, il me dit que la prochaine fois que je reviens sur la région (j'habitais à 1 heure de ma région de naissance et familiale) de le contacter et que l'on pourrait sortir manger, danser,... Je m'étais dit pourquoi pas, ce que je fît. Et durant cette soirée où on était accompagné de son frère et de sa compagne, par moment, j'avais l'impression qu'il n'y avait plus que nous à cette table. Il était convenu que je dorme chez lui sans savoir l'heure de rentrer. Il était retourné habiter chez son père en attendant de trouver un logement, nous sommes avons finalement fait l'amour (n'ayant aucun lien de consanguinité cela ne nous a pas gêné). Il a commencé, pour mon grand plaisir, à venir me rejoindre chez moi tous les week-end. Comme je n'avais plus d'emploi, j'ai donc envisagé de revenir dans ma région. Il était difficile pour moi de trouver un logement et mon bail se terminait mais mon père pouvait m'accueillir avec mon fils. Il me propose alors que l'on cherche une maison pour nous trois (il n'y avait que quelques mois que nous étions ensemble), j'étais ravie mais j'ai vite déchanté. Disputes incessantes, engueulades, remarques inutiles et sans importances selon moi mais aussi sur mon fils. Mon fils, sachez qu'il souffre de trouble de l'attention avec impulsivité, avait peur de regarder la tv, car lui, estimait que c'était de trop que quand mon fils l'entendait revenir du travail, il paniquait à l'idée de se faire gronder pour une raison quelconque. Il m'arrivait de gronder mon fils avant lui pour éviter qu'il le fasse. Nous avons eu une fille. J'étais devenue aigrie, la personne joyeuse que j'étais disparaissé, j'avais peur d'une remarque en public quoique dite à mon oreille que je ne devais pas rire si fort ou que je racontais des conneries. Pas de répit en vacances non plus. Et je les anticipe encore aujourd'hui ce qui ne me permet pas d'être sereine en sa présence, d'un moment à l'autre et pour une raison quelconque, il devient mauvais.
Je décide alors de le quitter, je n'en peux plus, j'ai beaucoup maigri. Il a pleuré, il me propose alors de continuer quand même en se voyant moins, que cela irai peut-être mieux, ce que j'ai espérait. Chasser le naturel, il revient au galop. Je vous en passe... On se remet, ça recommence, je lui dit à nouveau que ce n'est plus possible et je le reprends, j'ai pitié. La dernière fois, il pleuré à chaude larme et je me suis encore fait avoir. Il me dit qu'il ne veut pas laisser une relation d'aussi longue durée se terminer que c'est bête, que l'on passe aussi des bons moments. Qu'il est toujours tout seul, qu'il vit déjà mal la situation, qu'il m'aime. Et me revoilà au point de non retour. Je me posais des questions, suis-je à ce point sensible voire hypersensible ? Je lui est déjà expliqué maintes fois que nous n'étions pas compatible et que lui non plus n'était pas heureux. Que l'on a beau faire des efforts , cela ne fonctionne pas. En général, c'est à moi à faire des efforts bien sûr, mais j'ai beau faire des efforts, à faire mon possible pour que l'on passe du temps ensemble (car j'ai une activité prenante, il s'agit de danse, de répétitions, de spectacles, il s'en plaint), il n'est jamais satisfait. Je ne supporte plus ses remarques et comme j'anticipe, je n'arrive pas toujours à être agréable, il me reproche alors que je lui fais la tête. Et du coup, c'est toujours de ma faute si cela ne va pas dans mon couple.
Un exemple me revient, nous vivions déjà séparé. L'hôpital me téléphone au matin afin de m'informer que mon papa est décédé, vous imaginez bien sûr dans quel état je me trouvais. Je vais donc conduire mes enfants à l'école. J'y rencontre ma marraine qui me propose alors de me conduire immédiatement auprès de mon père, ce que j'accepte. Lui est en congé, je lui sonne alors que je suis dans la voiture de ma marraine pour l'en informer. Et vous savez quoi, il s'énerve et m'engueule parce que je ne l'ai pas contacté pour qu'il puisse me conduire, j'étais abasourdie. Je venais de perdre mon père et il me fait ça. Me hurler aussi dessus car j'avais brûlé les baguettes dans le four, me soupçonner de le tromper... J'ai aussi beaucoup menti pour mon fils pour éviter les disputes.
Je suis anxieuse même quand il n'est pas là, il a une emprise sur moi.

Je vais vous faire part de la dernière situation en date.
Entre nos deux habitations, il y a 7 km, et ce jour-là, je suis en réserve pour vous rendre compte de ce qu'il va

Un jeudi soir, il était prévu que j'aille manger chez lui après la répétition, pour qu'il ne me dise pas encore qu'il est toujours tout seul, il m'envoie un message pour m'avertir qu'il est tombé et s'est fait très mal. Arrivée chez lui, il m'explique, pas d'hôpital, la douleur passe, je lui dit alors que je lui téléphonerai le lendemain matin pour savoir s'il faut le conduire à l'hôpital car ensuite j'ai une représentation l'après-midi et donc ne savoir qu'y aller au soir. Ce que je fis, il m'a dit que ça allait. Après la représentation, je lui envoie un sms pour savoir ce que je devais faire. Il me dit pour ok, qu'il doit y aller.
Je me dépêche alors. J'arrive chez lui, il m'ouvre, me dit bonjour, je monte les escaliers devant lui. Il arrive et puis me regarde et me dit d'un air mauvais que je ne comptais quand même pas l'accompagner à l'hôpital maquillée comme ça (maquillage pailleté), j'aurais dû me démaquiller avant. Je lui rétorque que je me suis dépêchée pour lui sinon il aurait dû attendre plus longtemps et lui dit aussi qu'il devrait être moins soucieux du regard des autres (ce qui est très important pour lui) , il me répond que moi, je devrais l'être un peu plus, que je pouvais le conduire et que je reviendrais le chercher, dans la voiture je ne lui parle pas. Arrivé, je lui dit que je l'attends dans la voiture, il me dit alors que non, de rester avec lui. Lorsqu'il est appelé, nous rentrons pour rejoindre la salle, il arrive entretemps à me dire que tout le monde me regarde. Je décide toutefois de passer à autre chose et je fais tout pour le distraire en étant comique. Il doit se faire opérer après le week-end. Lors du départ, l'infirmière me donne les papiers mais comme je devais le pousser avec la chaise, j'ai voulu mettre les papiers dans un sac plastique mais j'avais des difficultés de le faire convenablement à une main (j'avais les veste dans l'autre). Il me dit d'un air mauvais : « tu vas abîmer les papiers ! », pour moi ce n'est pas grave, je lui rétorque alors de me donner un coup de main.
De retour chez lui, je reste un peu pour profiter d'un moment agréable quand même, donc je passe au-dessus de ses remarques, on me sonne pour me demander si j'allais bientôt arriver car j'avais casé ma fille. Le lendemain, une nouvelle représentation, je lui sonne pour la deuxième fois, je lui dis qu'on nous offre un verre et qu'ensuite j'arrive le chercher pour aller chercher un Quick car il avait envie de prendre l'air (ce que je comprends mais j'aurais pû y aller directement pour éviter les trajets en voiture car j'ai beaucoup de mal financièrement), la soirée se déroule bien. Il rentre à l'hôpital le lendemain soir. Tout se passe bien ce jour-là aussi, on s'arrange pour sa maison et pour son chien.

Lundi, jour de l'opération. Je vais donc chez lui pour sortir le chien, je reste un moment pour ranger son living (il est très bordélique) et le chien profite aussi d'être dehors sans le jardin. Il me sonne, il me dit avoir envie de fumer, je lui dit alors qu'il devrait en profiter pour arrêter de fumer puisqu'il le répète sans arrêt qu'il devrait arrêter. Il me sort mauvais qu'il n'a pas de conseil à recevoir d'une personne qui fume aussi, je lui dit que je dis énervée que c'est pour lui. Il fait froid, je rentre le chien . J'ai un mal de chien à trouver une place (20 minutes), j'arrive dans sa chambre, bonjour, il me demande si ça a été avec le chien. Oui. Il me demande si j'ai laissé le chien dehors et lui répond que non car il fait froid et que toute façon je retourne dans l'après-midi pour le ressortir. Il me dit que je n'écoute pas ce qu'il me dit. Je lui dit que si j'avais fait l'inverse, cela aurait été autre chose. Je suis restée là pendant deux heures sans parler, un vrai calvaire mais je préfère le silence. suivre.
A un moment donné, il me dit que je peux partir, je lui ai répond que oui, j'ai à faire chez moi comme je reviendrai l'après-midi. De me prévenir quand il partira au bloc (le médecin a du retard à cause d'une urgence). Je suis heureuse de partir, c'est tout juste si je ne cours pas. Retour chez moi, peu de temps car je dois aller chercher ma fille à l'école. Retour maison, je lui envoie un sms pour savoir, pas de réponse. Donc il est descendu sans me prévenir, les heures passent, toujours pas de nouvelles. Retour chez lui, je ressors le chien, je m'arrange avec son père qui passe lui donner à manger à quel heure il vient afin que je sache si je rentre le chien ou pas et là tanpis si ça ne lui plaît, je ne suis plus à ça près. Retour à l'hôpital, il n'est pas encore remonté du bloc. A mon grand soulagement, son père et son oncle arrive. Son retour après une heure que nous attendons, ça été, je décide de partir vers 19h30 (visite finie à 20h), il se dit déçu que l'on s'en aille, je lui réponds qu 'en partant maintenant nous ne mangerons pas avant 21h.

Mardi, je suis chez lui, il fait sale, je nettoie le living, je retourne chez moi pour repasser son tas de linge (il se débrouille seul chez lui, je n'ai pas le temps d'entretenir deux maisons, si je le faisais en plus chez lui, il ne serait pas satisfait de ma façon d'entretenir et puis je ne veux en aucun cas car ça fait partie de ses reproches qu'il est seul pour entretenir (travaillant à mi-temps médical, d'un précédent accident au pied, j'ai travaillé entretemps mais je suis de nouveau sur le marché de l'emploi. Je ne cherche pas assez selon lui aussi.) Il me sonne, je n'avais pas encore arrêter, me demande pourquoi je ne suis pas passée à l'hôpital au matin, je lui rappelle que les visites commencent à 10h, réponse...ils ne disent rien...je ne voulais pas lui dire exactement pourquoi non plus car je savais qu'il serait content que son linge soit à jour et que j'ai rafraîchi le living.
Retour à l'hôpital, il pouvait sortir. Je me dépêche de préparer ses affaires afin de sortir au plus vite car je sais que je n'aurai pas beaucoup de temps avec lui car j'ai une réunion de danse et que je dois passer chercher ma fille chez une amie car il sortait pendant les heures de sortie scolaire. Dans le couloir de l'étage juste devant la porte ouverte d'une chambre, j'ai une crise du nerf sciatique, je suis figée, je ne sais pas avancer, il me demande ce que je fais, je lui répond et me rétorque gentillement bien sûr de ne pas rester là et énervée lui répond que je ne sais pas. On sort du bâtiment, je vais chercher la voiture, j'arrive et me place au plus près de lui. Je sors de la voiture et me dit que j'étais sur le passage clouté (soi dit en passant mal placé que personne ne s'en sert), agacée, je ne réponds pas et lui dis de rentrer dans la voiture et bien sûr pendant le voyage jusque chez lui, j'aurais dû prendre un autre chemin (bouchon) et de rouler moins vite (euh 37 à l'heure je lui ai répondu). Arrivé chez lui, je sors sa valise, la dépose dans le couloir, je ressors et ramène la malle à linge, il voit, me remercie et moi hum ! Les services que je lui ai rendu n'ont déjà plus de saveur, ni de joie. Je débarasse son sac vite vite, il me demande d'où vient la veste que je porte, je lui réponds que c'est à sa soeur que son père m'a donné pour ma fille mais étant donné qu'il trop grand pour elle (elle a 10 ans), il me dit alors que je devrais en informer son père que je le mets. Abasourdie et déjà énervée, je lui dit que je ne comprends ce principe, car son père ne dirait rien. S'en suit une dispute pendant que je rangeais ses vêtements dans sa chambre que j'avais repasser. « Tu n'as pas de défauts peut-être, tu devrais consulter un psy (ce n'est pas la première fois)...Je suis redescendue prendre mes affaires et je suis partie en oubliant les ordonnances, sa carte de banque et sa carte d'identité car je lui avais dit que j'irai chercher ses médicaments ainsi qu'un pain. Je lui envoie un message sur messenger :
J'ai pas le choix de passer par Messenger! J'ai oublié ta carte et tes ordonnances, si tu sais les préparer sur l'armoire à chaussures ou sur la table, je passerai demain matin les prendre et te dépose le tout de suite avec un pain. Rendre service ne me demande aucun effort, je voulais juste me dépêcher en rentrant pour tout ranger afin de pouvoir me poser et discuter avec toi avant de partir. En plus, j'ai reçu un message en sortant de chez toi comme quoi la réunion était annulée. Pas besoin de courbettes ni de merci, ça me gêne et c'est normal de rendre service en plus à toi qui en déjà tant fait pour moi. Juste que je me faisais une joie (malgré que j'étais déjà triste, d'avoir pensé avoir fait de mon mieux jusque là pour t'aider et être présente) d'avoir rangé hier, nettoyé le sol et repassé aujourd'hui au risque que tu me dises ou penses que je ne passais te voir car je voulais te faire une surprise et que je savais que ça allait te faire plaisir et ça me suffit amplement. On en a encore discuté il n'y a pas longtemps que de tous j'étais la plus présente. Je fais tout mon possible et de gros efforts pour te satisfaire (mission impossible?) Alors oui, excuse-moi d'être sensible, de me sentir blessée et que c'est pour cette raison que j'ai eu du mal à sourire...que tu me râles dessus parce que je suis maquillée alors que je n'ai pensé qu'à toi en me dépêchant pour que tu sois soigné; que tu me râles dessus quand je te dis de profiter de l'hospitalisation pour ne pas fumer parce que je m'inquiète de ta santé; que tu me parles mal parce que j'écorne un papier, de me râler dessus parce que j'ai commis la grosse erreur d'avoir rentré le chien hors que je savais que j'allais revenir le sortir l'après-midi, que je pensais bien faire parce qu'il allait avoir froid. Alors oui, excuse-moi si tout ça me blesse. Pourtant tu devrais le savoir depuis le temps et que je me répète à te le dire que je suis hypersensible et celle-ci ne te convient et au caractère fort que tu as. Nous nous comprendrons jamais


Mercredi, je me rends chez lui, rentre puisque j'ai les clefs, il dort dans le fauteuil, je ne fais pas de bruit car je n'ai pas envie d'être confrontée à lui. Il n'avait rien préparé, je suis repartie en me disant que je m'étais déplacée dans le vent. Il m'envoie un sms me demandant de lui apporter ses ordonnances parce qu'il a mal. Je suis étonnée, je ne les ai pas vu. Je lui réponds. Il me renvoie un sms 3 heures plus tard, alors tu les as retrouvé, je lui réponds, mon sms n'a pas le temps d'être envoyé qu'il me sonne. Je décroche, me gueule dessus : tu ne sais pas me répondre ? Réponse : je t'ai répondu à l'instant (et il n'avait pas reçu le précédent mais c'est de ma faute, moi j'avais bien eu l'accusé de réception), il me dit que j'en ai rien à foutre qu'il a mal et me raccroche au nez.
Je lui renvoie un sms : mon premier sms a été envoyé à 13h24, Pour ta gouverne, je me suis déplacée dans le vent car je suis venue chez toi pour prendre tout ça, tu n'avais rien préparé et je ne me permettrais pas de fouiller dans tes affaires, je t'avais dit que je passais au matin. Tu dormais dans le fauteuil, je suis arrivée chez toi à 9h20.
Je trouve les ordonnances dans la voiture, il les avait laissé mais je n'avais pas vu où. Je me déplace encore lui apporté alors que je suis censée être en route pour aller chercher mon fils à la gare et ma fille à un anniversaire. J'ouvre chez lui et je lui signale que je suis là et lui demande où je dois déposer les papiers car c'est son père qui va y aller finalement. Il me dit où je veux, réponse : Je les mets sur l'armoire à chaussures. Et il me gueule dessus : un chien est mieux considéré. Réponse : si tu voulais que je te les monte fallais le dire ! Je lui tends dzns les escaliers et me casse, lui continue de crier mais je n'écoute pas puisque je suis en train de sortir.
Je lui envoie un sms : ton chien est mieux considéré que moi.
Lui : C'est qui le malade ? Et tu oses dire ça ? Qui est sans souper aujourd'hui ? Et le pain que tu devais me prendre ? Tu ne veux pas que je te plaignes aussi. MDR
Moi : Je l'ai et je l'ai oublié chez moi, encore une fois pour me dépêcher à t'apporter tes papiers, idiote que je suis ! Et depuis quand tu m'as demandé si j'allais mieux du ventre ? (Je souffre de problèmes hormonaux mais je ne sais pas encore quoi) Au lieu d'aller à l'hôpital me soigner, je suis restée auprès de toi bien que je me suis fait ravalée pour le chien. Et j'ai vu que tu avais encore des réserves chez toi.
Lui : n'importe quoi
Moi : OK
Par messenger, je lui envoie une photo du pain en lui disant qu'au cas où je mentirai
Lui (par sms) : Qu'est-ce que tu veux que j'en fasse de ta photo ? MDR mets là dans un cadre
Jeudi, ma marraine qui allait lui rendre visite lui a donné le pain, il m'envoie un sms : Merci pour le pain et tout le reste ! Désolé de m'être énervé mais tu m'as tiré la tête tout le temps et j'avais besoin d'autre chose. Je crevé de mal !!! Comme d'hab, tu restes calée sur des conneries. Biz.
Je n'ai pas répondu.

Maintenant, je culpabilise parce qu'il est dans le plâtre et qu'il doit se débrouiller ainsi il ne sait pas conduire. Je vais être noircie aux yeux de ses proches, ce ne sera pas le reflet de la personne que je suis réellement.
Mes amies me dise que c'est son but de me faire culpabiliser. Mes amies et ma proche famille va m'aider à tenir bon, d'être là si j'ai un risque de craquer...j'ai de terribles angoisses (chaleur dans tout le corps,rythme cardiarque qui s'acélère, mains moites, larmes, tremblement et puis j'ai froid)
Je dois passer passer le fond, pour le nettoyer et pouvoir commencer à me désintoxiquer, j'ai encore du sipralexa pour m'aider aussi. Cela va prendre du temps mais j'ai appelé à l'aide.

Me fais-je des idées ou ais-je raison concernant son narcissisme ?

Je vous remercie infiniment d'avoir pris le temps de lire ces longues pages mais je n'aurais su faire autrement, je tenais à vous rapporter un exemple concret et récent.

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Mitsy123 a reçu 6 réponses

>   psychothérapeute intégratif par jldeconinck, membre actif, le 08/12/2016 à 23:14 pour Mitsy123
Bonjour Mitsy123,

Il n'est pas possible de donne un diagnostic sans l'avoir vu; et vous il serait important de parler de cette culpabilité. De ce qui vous a choqué, au plus vite pour que cela ne s'enkyste pas. C' est le moment puisque vous avez un déclic.

Voyez qui est proche de chez vous.

Pour ma part je suis à Braine - l'alleud

J- Deconinck
0476/435761

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>   Bien des questions sur le coeur par JiVé, membre actif, le 09/12/2016 à 9:14 pour Mitsy123
Bonjour Mitsy123,
Vous avez visiblement une longue histoire à réfléchir, et bien des questions sur le coeur.
Je vous inviterais à prendre un contact avec un(e) psychologue pour poser ces questions et ces turbulences dans votre tête.
Bien à vous,
J.VERMEULEN
Psychologue et webmaster

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>   narcissique ? Et puis... par BD, membre actif, le 09/12/2016 à 11:52 pour Mitsy123
Bonjour Mitsy123,
Pensez-vous vraiment que la question essentielle est celle que vous posez, de savoir s'il s'agit d'un pervers narcissique ou pas ?
Quid si oui ? Et si non ?
Mais visiblement, vous avez besoin d'être écoutée.
Bien à vous,
BD

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>  >   Pervers narcissique par Mitsy123, non membre, le 09/12/2016 à 13:19 pour BD
Bonjour BD,

Je pense que c'est un besoin pour moi de me rassurer, je ne voudrais pas lui coller un nom mais juste comprendre un tel comportement afin de faire mes "armes", d'adopter l'attitude idéale pour moi face à lui et de pouvoir me reconstruire.

Bien à vous.

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>  >  >   psychothérapeute intégratif par jldeconinck, membre actif, le 09/12/2016 à 17:23 pour Mitsy123
Bonjour Mitsy123,

Oui vous avez besoin d' être rassurée et cela peut se trouver en se confiant à quelqu'un. Il n' y a pas d' attitude idéale. Vous pouvez essayer de vous comprendre, peut-être d' essayer de comprendre le comportement de l' autre et avoir des points de repères par rapport à votre attitude. Et en effet surtout vous reconstruire.

Bien à vous

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>   écoute par Bruyeer P., membre actif, le 14/12/2016 à 10:31 pour Mitsy123
Bonjour Mitsy123,

comme l'on dit M. Deconinck et Vermeulen, je pense qu'il vous serait bénéfique de consulter un psychologue.

Pour ma part, je consulte à Genappe et Nassogne.

Cordialement,

Philippe Bruyeer

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